Dominique Lardic
Domi
« Le petit Dominique Lardic est un « P’TIT ZEF » pur porc, c’est à dire, pour les non finistériens, un brestois pure souche. »
Il découvre la guitare en 69 et se voit déjà à la place de Jimmy HENDRIX, Eric CLAPTON, Brian JONES ou Jimmy PAGE, ses idoles du moment . Après de nombreuses « batailles en famille », il achète à la place de ses bonbons préférés, sa première guitare – 80 fr, soit une douzaine d’€ – Résultat : bonjour les petits doigts fragiles ! Ne croyez pas que le sacrifice fut vain, car ce fut alors la révélation du blues et du rock.
Trouvant là son plein épanouissement, au sens musical du terme s’entend – l’autre sera plus tardif -, il participe à la création de plusieurs groupes rock de la région brestoise de 1972 à 1976.
En 1980, il fonde avec son jeune frère Nicolas et quelques amis, le groupe de rock texan « SEXTAN » (texans-sextan, bien trouvé, isn’t it ?) qui écume depuis bientôt 25 ans les scènes bretonnes et hexagonales du monde rock. LYNYRD SKYNYRD, POINT BLANK ou MOLLY HATCHETT n’ont (presque) plus de secrets pour lui, il connaît sur le bout des doigts le répertoire de ZZ TOP et ne manque jamais une occasion d’aller leur piquer des plans et de leur faire signer des photos qu’il encadre telles des icônes russes …
En avril 1984, seconde révélation : la musique celtique, et c’est encore un groupe d’origine brestoise « TRISKELL » des célèbres frères jumeaux Pol et Hervé Quéfféléan avec lesquels il va tourner pendant 3 années, électrisant les églises et chapelles de Bretagne et d’ailleurs.
Enfin arrive septembre 1988, en remplacement de Raymond RIOU qui souhaite prendre du recul par rapport au groupe, il rejoint les DU où comme il dit : « les années semblent durer des petites semaines ! ». Mais surtout n’allez pas traduire qu’il y vieillit trois fois plus vite qu’avant ! Il participe immédiatement à l’album « TREDAN » dont l’enregistrement s’effectue au studio « AMADEUS », toujours à Brest !
Voilà… mais je crois que j’oublie quelque chose…Ah oui
SIGNE DISTINCTIF : adore collectionner (et bichonner, parce qu’en plus il est maniaque !) les belles guitares, qu’il appelle ses fifilles …